Tour sensationnel grâce à une combativité virulente
Hein Meijer, 11 mei 2011.
Les spectateurs ont vu des parties à couper le souffle sans trop de dégât. Comme les diagrammes d’Internet ne fonctionnaient pas au début les seuls vrais victimes étaient les spectateurs à la maison. Les vrais amateurs du jeu qui étaient venus pour assister aux matchs ont été des témoins d’une violence atroce dans l’arène «‘t Voorhuys».
La victoire la moins surprenante était celle de notre espoir national. Roel Boomstra préparait une attaque forte au flanc. Boezjinski a utilisé beaucoup de temps et s’égarait complètement. Boomstra réussissait même à fermer l’ail court. Le pauvre Boezjinski n’avait même plus un support sur six et quelques autres pions. Boomstra supposait que se ruine ne figurait pas sur la liste du patrimoine mondial des bâtiments et démolissait le ruine noir complètement.
L’autre Benjamin Allan Silva préparait une attaque. Son adversaire Alexander Mogiljanski avait souffert beaucoup pendant les deux matchs précédents contre Getmanski et Georgiev. Mogiljanski, grâce à une action maladroit, gagnait un pion, mais Allan sacrifiait sans problèmes un deuxième pion et passait à l’attaque. Mogiljanski ne réussissait pas à formuler une réponse adéquate et perdait le match.
Getmanski, après son échec contre Mogiljanski pendant le deuxième tour (remise dans une position absolument favorite) avait obtenu une remise de rétablissement contre Tsjizjow pendant le tour précédent. Maintenant il avait décidé d’aller combattre à toute allure le champion mondial Alexander Schwarzman. Getmanski donnait pas mal de problèmes à Schwarzman.
Comme d’habitude Schwarzman se retrouvait de nouveau dans un grand manque de temps. Getmanski se servait du type de jeu d’un pion noir imposé sur la case trente-six qui avait l’effet d’une piqûre d’épingle. Ensuite il jouait très fort 47-42. Après il ne se servait pas de sa meilleure possibilité. Malgré un peu d’avantage il offrait remise à Schwarzman. Celui-ci refusait cet offre généreux. Ce qui était encore plus étonnant, quelques instants plus tard, c’était qu’il faisait une bavure gigantesque. Il posait une dame sur une mauvaise case.
Pendant l’ouverture Georgiev et Tsjizjow s’attaquaient mutuellement. Les deux joueurs utilisent beaucoup de temps. Normalement ce type de jeu explosif entraînait vite des victimes, mais pas les Alexanders les grands. A un moment donné les positions semblaient être tout à fait épuisées. Alors quelque chose arrivait…… Tsjizjow se trompait. Il devait prendre la fuite dans une situation d’un jeu final quatre contre deux. Après la phase du manque de temps tout le monde supposait que Tsjizjow allait se défendre de façon correcte. Mais pendant la sixième heure de la partie il manquait une finesse empoisonnée.
Dul Erdenebileg se retrouvait également devant un adversaire amolli. Le Mongole cruel balayait sous le tapis le pauvre Artykov.
L’organisation avait décidé de changer les noms des participants dans l’ordinateur. On l’avait fait pour amuser les visiteurs Internet et pour les enduire en erreur.
